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Donnée médicale : un autre traitement pour un hôpital plus efficace

infirmière dans un hôpital gérant la donnée médicale

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L’hôpital croule sous la donnée. Que l’on parle d’informations tirées de consultations ponctuelles ou bien d’hospitalisations prolongées, les soignants s’affairent bien souvent à gérer cette donnée plutôt qu’à réellement prodiguer des soins à leurs patients. Mais ces données ne sont pas toutes les mêmes. Et il existe certaines façons de les collecter, les traiter et les réutiliser beaucoup plus efficaces que d’autres.

Un patient génère 5 courriers en moyenne par jour par hôpital

Arrêt sur image, un nombre impressionnant de patients défilant au sein d’un hôpital à l’année. 5 courriers, c’est le chiffre tiré d’un des hôpitaux ayant intégré Galeon comme DPI. Toujours pour ce même groupe hospitalier, nous dénombrons plus de 57 000 consultations sur les 3,5 dernières années.
Si l’on ramène cela à 365 jours, c’est grosso modo plus de 80 000 documents envoyés aux patients. 285 000 sur plus de 3 ans. Et puisqu’une grande majorité d’hôpitaux travaillent encore sur papier… Les chiffres sont tout simplement renversants.

Ces documents prennent différentes formes, selon les pays. Si nous prenons l’exemple de la France, par exemple, une synthèse médicale de séjour est systématiquement envoyée pour une hospitalisation de plus de 24h. D’autres courriers comme les comptes-rendus de consultation sont envoyés au médecin traitant du patient et/ou à d’autres spécialistes puis au DMP (Dossier Médical Partagé).

Il existe aussi les prescriptions, normées par la HAS (Haute Autorité de Santé en France), et possèdent une haute valeur médico-légale. Leur usage est externe à l’hôpital.
D’autres documents sont très importants, comme celui de la déclaration de naissance. Elle permet de déclarer la citoyenneté d’un individu et de demander ses papiers d’identité.

Le quotidien des soignants est fastidieux. Car s’ils doivent générer bon nombre de documents, ils doivent aussi utiliser plusieurs logiciels dans un même service pour travailler. Dans certains cas, ils doivent procéder jusqu’à 7 signatures au total juste pour prescrire un seul médicament pour leur patient. À raison d’une vingtaine de patients par jour (voire plus), le calcul est vite fait. Ils n’ont tout simplement pas le temps et finissent par ne plus prescrire ce traitement, si le cas du patient n’est pas critique.

Le stockage de la donnée médicale au format papier pose problème

Au vertige de ces chiffres n’est évidemment pas comptabilisé le coût de stockage ainsi que le transport des dossiers patient papier lorsque le lieu d’archivage est à quelques Km de l’hôpital (parfois 20 Km !).

Ces dossiers papier peuvent atteindre une cinquantaine de pages. Et pour récupérer un dossier ? Deux cas possibles ici :

  • soit le soignant a de la chance et il obtient le dossier en 4 ou 5 jours car ce dernier se trouve dans l’hôpital.
  • Soit il le reçoit sous plus d’une semaine, car il faut aller le chercher au centre d’archives… En incluant des frais élevés de coursier et une empreinte écologique en bonus…

La gestion du papier relève alors du défi pour les centres hospitaliers. Il est consommé de manière excessive, bien sûr, mais il pose aussi des problèmes de confidentialité pour la donnée de santé. Les dossiers papier peuvent être facilement volés, perdus ou même détruits involontairement dans certains cas (ex de cas d’inondation du centre d’archives).

Galeon révolutionne le quotidien de l’hôpital en hyper-structurant les données médicales

Réduire le nombre de courriers par patient (ou le nombre de patients tout courts) dans l’hôpital paraît difficile, voire impossible. En revanche, un temps considérable peut être gagné sur le planning quotidien d’un soignant. Tout cela en réduisant les frais de gestion du papier pour l’hôpital et autogénérant systématiquement tous ces documents sur la base de la donnée patient rentrée dans chaque dossier.
Alors comment s’y prend-on ?

Rappelons déjà qu’un DPI stocke la donnée, oui et peut le faire de manière intelligente en l’hyper-structurant, grâce à l’intelligence artificielle. Et surtout de manière simple. C’est ce que fait Galeon. Les professionnels de santé rentrent les diverses informations du patient dans le logiciel, en suivant des protocoles déjà préremplis au sein du logiciel.
Un avantage majeur qui leur évite de réécrire les mêmes éléments plusieurs fois à plusieurs endroits, et donc les erreurs ou les oublis. Un gagne temps certain !

Galeon structure la donnée médicale pour autogénérer les courriers de l’hôpital

Galeon ne s’arrête pas aux protocoles tout embarqués au sein du logiciel. Grâce à son module de paramétrage boosté à l’IA, le nom, prénom du patient… et autres informations importantes remontent automatiquement dans les courriers, prescriptions, etc, grâce à un système d’étiquettes. Ce flux de données est optimisé à travers la structuration de cette donnée.

Les documents sont autogénérés par le logiciel. Ils sont aussi personnalisables selon les besoins de chaque hôpital et sont aussi envoyés au DMP. Pour des résultats biologiques par exemple, les soignants peuvent gagner 2 minutes en moyenne par patient. Soit un total de 80 jours sur 3 ans (pour l’hôpital du début de l’article). Ce module de paramétrage ne nécessite pas de formation lourde ou particulière, car il n’est pas complexe à utiliser.
Un vrai plus pour tout le monde.

Galeon sera présent à Santexpo, au stand l59 et sera ravie d’accueillir sur son stand les dirigeants et DSI d’hôpitaux pour leur présenter son Dossier Patient Informatisé.


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