L’élection présidentielle américaine de 2024 pourrait bien marquer un tournant décisif pour le secteur des cryptomonnaies. D’un côté, Donald Trump, autrefois sceptique, se présente désormais comme un ardent défenseur des cryptos. De l’autre, Kamala Harris, dont la position reste plus discrète, commence à esquisser une vision favorable à cette technologie. Comment cette élection pourrait-elle façonner l’avenir des cryptos ? Qui de Trump ou Harris propulsera le Bitcoin et la blockchain vers de nouveaux sommets ?

Donald Trump : Le virage pro-crypto d’un ancien sceptique

Trump, qui qualifiait autrefois le Bitcoin d’arnaque en 2021, a récemment changé de cap. Aujourd’hui, il se positionne en défenseur des cryptomonnaies, promettant de faire des États-Unis la capitale mondiale du Bitcoin. Lors de ses discours, il a insisté sur son intention de supprimer de nombreuses régulations imposées par l’administration Biden, facilitant ainsi la croissance du secteur crypto. Trump a également exprimé son désir de créer une réserve stratégique en Bitcoin pour le pays, tout en vantant les avantages de l’auto-détention des actifs numériques et en soutenant des plateformes de finance décentralisée (DeFi). Alors quels impacts potentiels pour les cryptos sous Trump ?

• Dérégulation massive : Si Trump est élu, il est probable que les États-Unis adopteront des politiques pro-crypto, limitant les régulations et attirant davantage de projets cryptos sur le territoire.
• Boost du mining aux USA : Trump a exprimé son désir de rapatrier la production de Bitcoin aux États-Unis, ce qui pourrait renforcer la domination américaine dans le secteur du mining.

Kamala Harris : Prudente mais ouverte à l’innovation crypto

Contrairement à Trump, Harris n’a pas autant mis l’accent sur les cryptomonnaies. Mais elle reste ouverte aux innovations. Née près de la Silicon Valley, elle comprend les enjeux technologiques. Elle a d’ailleurs récemment déclaré vouloir encourager l’innovation numérique, y compris les cryptos, tout en protégeant les consommateurs et investisseurs. Bien que moins agressive que Trump sur ce sujet, Harris semble plus prête que Biden à soutenir l’industrie blockchain.
Alors quels impacts potentiels pour les cryptos sous Harris ?

• Réglementation modérée, mais claire : Harris pourrait offrir un cadre juridique plus stable pour les entreprises cryptos, limitant les risques tout en stimulant l’innovation.
• Focus sur la protection des consommateurs : Bien qu’elle soutienne l’industrie crypto, Harris pourrait chercher à équilibrer innovation et sécurité, en renforçant les régulations pour protéger les utilisateurs.

Le facteur “Crypto-vote” : Une nouvelle puissance électorale

Le paysage politique a radicalement changé. Selon un sondage récent de Coinbase, le vote des détenteurs de cryptomonnaies représente un enjeu clé. 52 millions d’Américains détiennent des cryptos en 2023, soit plus de sept fois l’écart de voix de l’élection présidentielle de 2020. Fait intéressant, ce groupe électoral est également réparti entre Trump et Harris, avec 47 % d’intentions de vote pour chaque candidat. Cette répartition bipartisane montre que la crypto transcende désormais les divisions politiques traditionnelles.

Les prédictions crypto des marchés financiers : Bitcoin à 125 000 $ ?

Les prévisions des grandes institutions financières comme Standard Chartered placent les cryptos au centre de l’attention. Selon leurs estimations, une victoire de Trump pourrait propulser le Bitcoin à 125 000 $, tandis qu’une présidence Harris pourrait également avoir un impact positif, avec des prévisions de 75 000 $. Quelle que soit l’issue de l’élection, 2024 pourrait être une année record pour le Bitcoin, soutenue par des facteurs comme la demande institutionnelle et l’assouplissement des régulations comptables.

L’impact des élections sur les entreprises et industries liées à la crypto

Les élections auront également des implications significatives pour les entreprises liées aux cryptos. Sous Trump, les entreprises de mining et d’échanges cryptos comme Coinbase pourraient bénéficier d’une dérégulation accrue. De plus, les secteurs pétrolier et industriel seraient également favorisés, notamment à cause de la politique protectionniste de Trump.
Sous Harris, les entreprises liées aux énergies vertes et aux technologies durables pourraient prospérer, tandis que des régulations plus strictes sur les banques pourraient affecter les grands acteurs du secteur financier, y compris les entreprises crypto.

L’élection présidentielle de 2024 aux États-Unis pourrait bien définir l’avenir de l’industrie des cryptomonnaies. Avec Trump, les cryptos pourraient bénéficier d’une approche dérégulée et d’un environnement propice à l’innovation rapide. De son côté, Harris adopte une approche plus équilibrée, prête à encourager la technologie tout en garantissant la sécurité des utilisateurs. Quoi qu’il en soit, les cryptomonnaies ne manqueront pas d’être au cœur des débats et des décisions de politique économique dans les années à venir.

Le Dossier Patient Intelligent (DPI) Galeon a été mis en place dans un nouveau centre hospitalier ce mois de septembre 204. Le CH William Morey accueille désormais son nouveau logiciel de suivi patient à Chalon-sur-Saône. C’est un nouveau déploiement, suite à ceux effectués en juin 2024 au sein des CH de Toulon et Hyères. Mais en quoi ce logiciel est-il révolutionnaire et si différent des autres ?

Le Dossier Patient Intelligent Axé Sur Le Parcours Patient

Ce parcours patient, il est souvent complexe, d’abord pour les soignants avec la multiplication des sources détenant de la donnée patient due. En cause entre-autres : les dernières avancées technologiques comme la télémédecine ou autres apps/services en ligne. De nos jours, il est très compliqué de retracer l’historique des soins d’un patient, et donc d’avoir un suivi impeccable et complet. C’est tout autant compliqué quand son parcours implique des visites dans plusieurs services de l’hôpital. Pourtant, ce parcours patient reste en général structuré autour de quelques étapes fondamentales :

1. Première consultation de ville : une consultation initiale réalisée chez un généraliste ou un spécialiste, incluant parfois des examens complémentaires.
2. Préadmission : le patient renseigne ses antécédents et traitements via un processus administratif et/ou médical, que ce soit par téléphone ou à travers un portail patient, comme ce que propose Galeon.
3. Admission : enregistrement à l’arrivée du patient à l’hôpital, suivi d’une première évaluation de l’état de santé du patient avec les soignants.
4. Prise en charge : consultations multiples, examens médicaux, et planification des soins.
5. Suivi et évaluation : suivi de l’état de santé du patient au fil du temps et de ses soins.
6. Sortie de l’établissement : préparation des instructions post-hospitalisation, prescriptions de médicaments et rendez-vous médicaux.
7. Suivi post-hospitalisation : suivi médical ou services complémentaires si nécessaire.

Contrairement aux logiciels DPI traditionnels axés sur une ou des spécialités hospitalières, Galeon est un Dossier Patient Intelligent : il se concentre sur le patient et son parcours. Il est crucial que son dossier et ses informations le suivent sans interruption d’un service à l’autre et de manière sécurisée. Galeon couvre ainsi les étapes 2 à 7 du parcours patient via ses différents modules, auquel chaque service a accès, assurant une prise en charge efficace et coordonnée.

Dossier Patient Intelligent Et Innovant Au Cœur Du Développement De Galeon

Bien que le secteur des logiciels DPI ait accumulé du retard jusqu’ici par rapport à d’autres secteurs d’activités où les évolutions digitales sont bien plus rapides, l’innovation n’a pas été mise de côté. En tout cas chez Galeon, qui ne cesse d’innover pour combler ce fossé. En plus de rattraper ce retard global, l’innovation porte sur l’expérience utilisateur, la structuration des données et leur sécurisation avec l’utilisation de nouvelles technos comme la blockchain, mais pas que. Traditionnellement, les mises à jour sur les DPI sont peu fréquentes. Galeon en propose régulièrement (presque tous les mois) pour suivre et aider la vie des soignants.
Cet été, par exemple, un contrôle rigoureux des incompatibilités physicochimiques a été ajouté aux prescriptions, les rendant ainsi plus précises. Les indicateurs clés regroupés dans Galeon (plus de 150 accessibles via le Module Statistiques) sont précieux pour les recherches de thèse et les cadres de service qui pilotent les différents services hospitaliers. Ils aident également les services de maternité à améliorer la prise en charge, avec des indicateurs spécifiques tels que :

• L’allaitement, les bienfaits du peau à peau,
• Le pH artériel du nouveau-né,
• Ou encore l’impact d’un IMC < 40 d’une mère sur son bébé.

Ces données sont donc essentielles pour faire progresser la science et offrir aux patients une prise en charge personnalisée.

Un nouveau déploiement de Galeon en Bourgogne-Franche-Comté

Mi-septembre 2024, l’équipe de Galeon s’est rendue en Saône-et-Loire pour former et accompagner le personnel du pôle Femme-Mère-Enfant du Centre Hospitalier de William Morey à Chalon-Sur-Saône, dans la prise en main de leur nouveau logiciel. Le déploiement s’est déroulé de manière fluide, et l’équipe restera en contact étroit avec les soignants pour répondre à leurs questions ou besoins éventuels après le déploiement.
Stéphane Kirche, DSI de l’hôpital, a exprimé sa satisfaction : « Des professionnels soignants engagés, un déploiement parfaitement maîtrisé et orchestré, une écoute adaptée, une coordination très performante ! Pas de surprise, pas de crash !…5 jours top chrono, une mise en service que je qualifierais de sereine ! C’est enfin un outil numérique métier tourné vers l’avenir et au service des acteurs du soin. »
Avec ce nouveau déploiement, la communauté des hôpitaux utilisant Galeon pour le suivi de leurs patients s’élargit, comptant désormais 13 établissements, dont deux CHU.

Galeon sera présent aux événements majeurs du secteur de la santé, notamment à la prochaine Healthcare Week Luxembourg 2024.

La DeSci, ou “Science Décentralisée”, est en train de révolutionner la façon dont nous abordons la recherche scientifique en rendant les processus plus transparents, collaboratifs et accessibles à tous. Mais face à cette nouvelle vague d’innovation, vous vous posez peut-être la question : “comment identifier un projet DeSci prometteur et puis ensuite… y investir judicieusement ?”

RESUMEE ARTICLE

Un projet DeSci, oui mais pourquoi faire ?

Le principal attrait de la DeSci ? Sa capacité à transformer radicalement la science.
Actuellement, le secteur scientifique est en pleine mutation grâce aux nouvelles technologies. La DeSci représente une nouvelle façon de conduire la recherche, en la rendant plus ouverte, transparente et collaborative.
Traditionnellement, la recherche scientifique est souvent financée par de grandes institutions ou par l’industrie privée. Cela limite considérablement l’accès aux financements pour certains projets, qui pourtant, sont importants. Cela limite donc l’avancée de la science. La DeSci, en revanche, propose un modèle décentralisé où les résultats de recherche sont transparents au sein des communautés qui ont décidé de les financer. Les fonds sont distribués via des plateformes utilisant la technologie blockchain. Cela permet à un plus grand nombre de contributeurs de participer. Non seulement les sources de financement sont diversifiées, mais on trouve une plus grande inclusion de chercheurs, d’investisseurs, et d’amateurs de science à leurs origines… Voilà déjà un point important.

Investir dans un projet DeSci, c’est aussi choisir la transparence et l’accessibilité. Les projets reposant sur la blockchain offrent une traçabilité complète des fonds. En tant qu’investisseur, vous pouvez suivre l’utilisation de votre argent en temps réel et vous assurer qu’il est employé de manière efficace et éthique. Cette approche permet également une diffusion plus large des résultats scientifiques, souvent accessibles librement, contournant ainsi les obstacles traditionnels tels que les abonnements coûteux aux revues scientifiques.

Quel potentiel de croissance pour un projet DeSci ?

Ah, le potentiel de croissance. Un des principaux avantages côté investissement. Comme la DeSci est encore un domaine émergent, les nombreuses opportunités d’investissement peuvent s’avérer très lucratives. Toutefois, prudence ! Il est essentiel de les aborder de manière réfléchie. Et oui, investir dans un secteur en pleine croissance comporte des risques (comme en crypto). Il est donc crucial de bien se renseigner auparavant et d’adopter une stratégie d’investissement bien pensée pour maximiser les chances de succès.

Alors, pour investir de manière avisée dans la DeSci ?

• Étape 1 : Renseignez-vous sur le projet envisagé.
  Il est impératif de comprendre la vision du projet, la technologie utilisée, et de vérifier la crédibilité de l’équipe qui le dirige. Le whitepaper est notre meilleur ami dans ce genre de situation, comme celui de Galeon, concocté avec amour et précision par nos soins.
  
• Étape 2 : Justement, le whitepaper. À lire très attentivement. Il détaille le projet, ses objectifs, et sa feuille de route, tout ce qui est essentiel au projet. Cela vous donne une meilleure vue d’ensemble.
  
• Étape 3 : Évaluez la communauté soutenant le projet.
  Cela peut fournir des indications précieuses sur sa viabilité à long terme. Un projet DeSci solide est souvent soutenu par une communauté active et engagée, ce qui témoigne de sa robustesse et de son potentiel de succès. Rentrez en relation avec les personnes qui en font partie et posez des questions. Les réponses pourront très certainement vous guider.
  
• Étape 4 : Diversifiez vos investissements est également un facteur clé. Il est rarement conseillé de placer tous ses fonds dans un seul projet, surtout dans un secteur aussi novateur que la DeSci. Diversifier vos investissements entre différents projets ou secteurs vous permet de réduire les risques et d’augmenter vos chances de rendement.
  
• Étape 5 : Prenez en compte la liquidité de l’investissement.
  Certains projets DeSci peuvent offrir moins de liquidité que d’autres, il est donc crucial de bien comprendre les conditions de retrait de votre investissement, surtout si vous avez besoin de récupérer votre capital rapidement.
  
• Étape 6 : Prêtez attention aux aspects réglementaires.
  Ne négligeons pas l’aspect juridique (surtout pas !). Le cadre juridique entourant la blockchain et les cryptomonnaies est en constante évolution. Assurez-vous que le projet respecte les régulations en vigueur dans votre pays et soyez prêt à vous adapter aux changements législatifs qui pourraient survenir.

Projet DeSci, où est-ce que je me renseigne ?

Vous vous demandez encore quelles sources consulter pour accéder à ce type de projets ? Encore une fois…, ils émergent et sont donc encore relativement peu nombreux. C’est normal d’avoir une visibilité (pour l’instant) assez limitée.

Pourtant, il vous sera possible de trouver de plus amples informations sur :

• Les réseaux sociaux : YouTube, X, LinkedIn, Telegram,
• Des médias crypto connus (Cointribune, Coindesk, Cryptonaute…),
• Des plateformes d’exchange (Binance, CoinmarketCap, Coin Gecko…),
• Spotify (les podcasts fonctionnent toujours très bien pour mieux approfondir certains sujets),
• Les sites des projets en question et leur whitepaper + réseaux sociaux s’ils en possèdent.

Investir dans un projet DeSci peut être une décision judicieuse et porteuse d’avenir pour ceux qui souhaitent combiner leur passion pour la science avec la recherche de rendements financiers. En soutenant ces projets, non seulement vous investissez dans votre avenir financier, mais vous contribuez également à un mouvement global visant à rendre la science plus accessible, transparente et équitable pour tous (et ça, c’est plutôt glorifiant !).

Le Dossier Patient Informatisé (DPI) est un outil numérique centralisant les données médicales d’un patient, améliorant la qualité des soins et l’efficacité du système de santé. Ses avantages sont nombreux, tels que l’accès rapide aux informations du patient pour les soignants et une meilleure coordination/efficacité des soins. Il pose aussi des défis en matière de sécurité des données et d’interopérabilité. L’avenir du DPI est sous le signe de l’innovation et d’une révolution du soin, notamment grâce à l’intelligence artificielle et aux appareils connectés.

Concrètement, un Dossier Patient Informatisé, c’est quoi ?

Le Dossier Patient Informatisé est une version numérique du dossier médical traditionnel. Il contient toutes les informations pertinentes concernant l’état de santé d’un patient :

• antécédents médicaux,
• allergies,
• traitements en cours ou actes médicaux ,
• prescriptions,
• résultats d’examens.

Le DPI centralise et organise ces données de manière sécurisée, confidentielle et accessible pour les soignants, facilitant ainsi le travail des professionnels de santé.

Le DPI couvre toutes les spécialités de l’hôpital.

Contrairement au dossier papier, le DPI permet une mise à jour en temps réel et un accès rapide à l’information, où que l’on se trouve. Cela signifie que, quel que soit le lieu où un patient reçoit des soins, son historique médical est disponible instantanément pour les praticiens autorisés, permettant une prise en charge plus rapide et plus efficace. Ce dernier peut également être mis à jour par des différents soignants au même moment puisqu’ils y ont accès en même temps grâce à leur accès sécurisé au DPI.

Le Dossier Patient Informatisé : ses avantages

Ils sont nombreux :

• Des soins de meilleure qualité ➡️
  L’accès rapide et complet aux antécédents médicaux d’un patient permet aux professionnels de santé de mieux comprendre l’historique de santé du patient, d’éviter les erreurs médicales. Les traitements appliqués sont mieux personnalisés en fonction des besoins spécifiques du patient. (Ex : un médecin urgentiste accède tout de suite à ses informations vitales même en cas de perte de connaissance pour appliquer des gestes cruciaux dans un cas d’urgence).
  
• Efficacité et gain de temps ➡️
  Des données accessibles en quelques clics libèrent évidemment du temps pour les soignants. Ils se concentrent davantage sur le soin que l’administratif par exemple. On notera que les prescriptions électroniques générées automatiquement, réduisent les risques d’erreurs liées aux erreurs de transcription ou d’interprétation des ordonnances.
  
• Meilleure coordination des soins ➡️
  Avantage majeur et pas des moindres : la possibilité de partager les informations entre différents professionnels de santé sans qu’elles se perdent. Par exemple, un généraliste, un spécialiste, et un pharmacien peuvent tous accéder aux mêmes informations, assurant ainsi une cohérence et une continuité des soins. Un dossier papier étant physique, pas d’accès simultané possible.
  
• Sécurité et confidentialité ➡️
  Les dossiers papier peuvent être facilement volés, perdus, endommagés ou complètement détruits. Les DPI, eux, sont généralement sécurisés par des protocoles de cryptage et d’accès sécurisé. La sécurité numérique étant un enjeu crucial en santé, les systèmes DPI modernes comme celui de Galeon sont conçus pour protéger la confidentialité des patients et garantir l’intégrité des données.

Le Dossier Patient Informatisé : ses défis

• Interopérabilité ➡️
  Un des principaux défis du DPI est l’interopérabilité entre les différents systèmes utilisés par les hôpitaux, les cliniques et les professionnels de santé. Il est essentiel que les systèmes puissent communiquer entre eux pour que les données puissent être partagées sans obstacle. La mise en place de standards communs est donc une priorité pour garantir une efficacité maximale du DPI.
  
• Formation et Adoption ➡️
  La transition vers un système informatisé peut être complexe. Les soignants sont facilement perturbés par de nouvelles techniques de travail proposées, surtout si elles utilisent le digital. Il faut donc impérativement accompagner de près le changement, et réassurer par le biais de programmes de formation adéquats et une présence physique lors des déploiements de logiciel dans les services de l’hôpital.
  
• Protection des Données ➡️
  La confidentialité des données médicales est une préoccupation majeure. Les cyberattaques visant les systèmes de santé se sont multipliées ces dernières années, et il est impératif de mettre en place des mesures robustes pour protéger les DPI. Cela inclut des protocoles de sécurité informatique à mettre en place, ainsi que des politiques strictes sur l’accès aux données, qui ne sont malheureusement pas toujours efficaces…
  
• Coût et Infrastructure ➡️
  La mise en place d’un DPI peut représenter un défi important pour l’hôpital, surtout si la structure possède des ressources limitées. C’est un investissement significatif en termes de technologie, de formation et de maintenance. Néanmoins, les avantages à long terme, tant en termes de coûts que de qualité des soins, justifient largement cet investissement.

Quel avenir pour le Dossier Patient Informatisé d’un point de vue santé ?

Il est (très) prometteur avec des évolutions vers :

• Une plus grande interopérabilité,
• Une sécurité renforcée des données,
• L’intégration de l’intelligence artificielle pour améliorer les diagnostics et les soins personnalisés,
• Une base de développement des soins futurs, par le big data.

Le DPI pourrait également faciliter l’accès aux soins à distance, renforcer la collaboration entre professionnels de santé, et améliorer la gestion des données de santé.

Pourquoi le Dossier Patient Informatisé Galeon révolutionne vraiment l’hôpital ?

Tout d’abord, notons que le logiciel Galeon est ergonomique dans sa prise en main et lecture. Il est aussi rapide dans son exécution à chaque clic du soignant. Il lui fait donc gagner un temps précieux sur ses différentes consultations.

En quelques clics, les informations du patient sont à disposition et sont clairement lisibles. Les actes médicaux réalisés par le soignant sont aussi normés aux codes internationaux de type CIM10, Snomed-CT, Loinc, RxNorm… (et oui, un élément intéressant pour les hôpitaux qui peuvent enfin faire le point sur leur activité en un coup d’oeil).

Bien entendu, toutes ces informations restant des données confidentielles et protégées pour le bien du patient, leur sécurité est une priorité au sein du DPI, même en cas d’interopérabilité des dossiers d’un centre médical à un autre. Galeon est certifié HDS & possède la certification ISO 27001 par l’Afnor.

Mais alors… Galeon, révolution ? Oui et pour un bon nombre de caractéristiques. Voyons :

• Une donnée structurée et standardisée :
  Les informations retrouvées dans Galeon sont les mêmes dans chaque hôpital utilisant le logiciel. Elles sont donc “organisées” pour une utilisation standardisée de la donnée. Elles sont embarquées dans ce dernier sous forme d’informations pré-remplies, boutons sur lesquels le soignant n’a juste qu’à cliquer. Donc concrètement, cela veut dire qu’ils n’ont pas besoin de renseigner eux-mêmes en tapant une information (ou dans de très rares cas). Très peu de saisie, pas de double saisie, donc pas de risques d’oublis ou d’erreurs dans le dossier patient. Et surtout un gain de temps conséquent pour une médecine plus personnalisée.
  
• Un entraînement décentralisé des algorithmes d’IA pour faire VRAIMENT avancer la recherche médicale
  Et oui, si on organise la donnée partout, on peut donc la récolter en grande quantité, l’analyser, et la traiter beaucoup plus facilement que s’il faut la ranger et la trier avant (ce qu’il se passe malheureusement actuellement dans la majeure partie des cas…). Avec Galeon, les données sont déjà prêtes à être décortiquées grâce à l’intelligence artificielle pour rendre à la science son efficacité et celle du soin aussi. Bien sûr, les données sont sécurisées et, une fois anonymisées avec l’accord du patient, les algorithmes d’IA peuvent être entraînés dessus, de manière décentralisée sur la blockchain Galeon grâce à sa technologie propriétaire Blockchain Swarm Learning. Ainsi, les algorithmes apprennent sur des milliers de données anonymisées à reconnaître très rapidement telle ou telle pathologie, tel cas clinique etc. La recherche médicale est donc propulsée dans une nouvelle ère, boostée à l’IA, permettant la médecine communautaire et envisageant le next stage : la médecine prédictive.
  
• Une sécurité accrue grâce à l’utilisation de la Blockchain
  Galeon relie les hôpitaux qui utilisent son logiciel grâce à sa technologie Blockchain. Ainsi, elle permet d’assurer la confidentialité des données et la protection des patients tout en continuant de valoriser la valeur de ces données de santé et en luttant contre les cyberattaques quotidiennes. Galeon a d’ailleurs déjà résisté à 2 cyberattaques et a également reçu 2 prix Innovation Awards du CES de Las Vegas en 2024.
  
• Galeon est plus qu’un logiciel, c’est une communauté de pionniers en santé qui veulent bouger les lignes
  Au travers de son projet de Science Décentralisée (DeSci), de son Organisation Autonome Décentralisée (DAO) et sa crypto $GALEON, c’est toute une communauté qui se réunit pour faire avancer la médecine. La communauté investissant dans le projet et étant détentrice d’à minima un jeton Galeon peut voter pour le financement à but non-lucratif de projets en santé importants qui pourraient tout changer demain mais surtout dès aujourd’hui.

Ce sont les hôpitaux Galeon qui parlent le mieux du Dossier Patient Informatisé Galeon !

Visitez notre whitepaper si vous désirez approfondir le sujet.

Les données de santé : le nouvel or noir ?

Connaissez-vous réellement la valeur des données de santé ? Un terme souvent vague, employé par-ci, par-là. Mais que valent VRAIMENT ces informations collectées à travers des millions d’interactions médicales ? Personnalisation des traitements, prédiction des épidémies, … les opportunités sont gigantesques. Pourtant, le véritable potentiel de ces données n’a pas encore été pleinement exploité…

Une ressource inestimable à l’échelle individuelle et collective

Les données de santé proviennent de sources diverses :

• Dossiers médicaux électroniques (ou papier),
• Résultats d’examens,
• Données génomiques,
• Et même de simples objets connectés.

Elles permettent aux chercheurs d’obtenir une vue d’ensemble sans précédent sur la santé des populations. Grâce à ces informations, il est possible de mieux comprendre les maladies, d’améliorer les diagnostics et de personnaliser les traitements. Par exemple, au lieu de proposer un traitement standard pour tous, les médecins peuvent désormais choisir une thérapie adaptée aux caractéristiques spécifiques de chaque patient. C’est ce qu’on appelle la médecine personnalisée.

Mais les données de santé ne servent pas uniquement à améliorer les soins individuels. Elles sont également cruciales pour la santé publique. Elles permettent de suivre l’évolution des épidémies, de prévoir les futures crises sanitaires et d’évaluer l’efficacité des politiques de santé. (Par exemple, pendant la pandémie de COVID-19, les données ont été essentielles pour suivre la propagation du virus et ajuster les mesures de confinement).

Les défis de la valorisation des données de santé

Si les données de santé sont une mine d’or, elles posent également de nombreux défis. Le premier est la question du stockage. Les volumes de données générés sont énormes, et les infrastructures nécessaires pour les stocker et les analyser sont coûteuses et complexes. Ensuite, il y a le défi de la standardisation des données récoltées. Les données proviennent de sources diverses et sont souvent dans des formats différents, ce qui rend leur intégration et leur analyse difficiles.

Mais le plus grand défi reste sans doute celui de l’éthique. Les données de santé sont extrêmement sensibles, et leur collecte et leur utilisation doivent respecter des règles strictes pour protéger la vie privée des patients. C’est ici que des initiatives comme celle de Galeon peuvent jouer un rôle crucial.

Galeon, une révolution dans la valorisation des données de santé

Galeon se positionne comme une réponse innovante aux défis posés par les données de santé. Cette initiative repose sur une cryptomonnaie, le token $GALEON, qui permet de valoriser ces données de manière décentralisée et éthique. L’idée est simple mais révolutionnaire : les hôpitaux, en tant que gardiens des données de santé, valident leur utilisation via un système de blockchain décentralisé, le Blockchain Swarm Learning®. Les patients, quant à eux, ont un droit de regard sur l’utilisation de leurs données et sur leur partage et leur utilisation.

Avec le token $GALEON, chaque acteur de la chaîne —patients, hôpitaux, chercheurs— a son rôle : par une rétribution ou un pouvoir sur sa participation à la collecte et à l’analyse des données. Par exemple, lorsqu’une entreprise souhaite entraîner son intelligence artificielle sur des données de santé, elle doit payer pour accéder au réseau décentralisé de Galeon. Cette somme est ensuite répartie entre les patients, les hôpitaux et l’écosystème Galeon, lui-même. Galeon crée ainsi un modèle vertueux inédit, parce qu’il inclut et respecte tous les acteurs de la chaîne de valeur de la donnée médicale.

La science décentralisée, le futur de la recherche médicale ?

Mais l’ambition de Galeon ne s’arrête pas là. En valorisant les données de santé de manière éthique et décentralisée, Galeon pose les bases d’une nouvelle ère de la recherche scientifique : la Science Décentralisée, ou DeSci. Dans ce modèle, la recherche médicale n’est plus aux mains de quelques grands laboratoires, mais ouverte à une communauté plus large, avec une transparence totale sur l’utilisation des fonds et des données.

Le $GALEON joue ici un rôle central. Non seulement il permet de financer des projets de recherche, mais il donne aussi aux membres de la communauté le pouvoir de décider des projets à soutenir. En d’autres termes, Galeon démocratise la recherche médicale, en la rendant accessible et contrôlée par ceux qui en sont à la fois la première ressource et les premiers bénéficiaires : les patients.

Une ère nouvelle pour les données de santé

Les données de santé sont une ressource précieuse, mais leur véritable potentiel reste à découvrir. Des initiatives comme Galeon montrent qu’il est possible de les valoriser de manière éthique, tout en offrant de nouvelles opportunités pour la recherche médicale et la santé publique. En combinant technologie blockchain et science décentralisée, Galeon ouvre la voie à un futur où les données de santé ne sont plus un simple outil, mais une force motrice pour l’innovation et le bien-être collectif.

DAO : pourquoi en parle-t-on ?

D.A.O. ou Decentralized Autonomous Organization en anglais. En français ? C’est une organisation autonome et décentralisée. Peut-être avez-vous déjà entendu ce terme, peut-être pas. En crypto, il est courant d’en avoir entendu parler, car bon nombre de projets en mettent en place. Elles suscitent en effet de plus en plus d’intérêt. Mais pourquoi au juste ? À quoi servent-elles concrètement ? Le topo juste en dessous.

Une DAO est une organisation sans hiérarchie

Une DAO, c’est un nouveau modèle organisationnel qui repose sur des principes radicalement différents des structures traditionnelles. C’est d’ailleurs pour cela qu’on leur porte de l’intérêt.

• Une organisation sans dirigeant : Les DAO fonctionnent sur la base du consensus. Les décisions y sont prises collectivement par les membres, chacun ayant un droit de vote proportionnel à sa participation.
• Des règles transparentes : Toutes les règles de fonctionnement d’une DAO sont inscrites dans des smart contracts (contrats intelligents), des lignes de code exécutées automatiquement sur une blockchain. Ces règles sont immuables et transparentes pour tous.
• Une gouvernance décentralisée : Les DAO n’ont pas de siège social et peuvent être gérées par des membres du monde entier.

Une DAO rassemble une communauté autour d’un token spécifique

Pour mieux comprendre le fonctionnement d’une DAO ?

C’est avant tout une communauté de personnes souhaitant se réunir pour financer de nouveaux projets, peu importe le sujet. Ils peuvent créer eux-mêmes la DAO et créer et émettre un token (cryptomonnaie) qui leur donne droit à une part de propriété et un droit de vote, s’ils en possèdent. Les membres peuvent alors utiliser ce token pour voter sur les projets à financer, les règles à modifier, etc.

Et la DAO Galeon dans tout ça ?

Elle s’inscrit évidemment dans le domaine de la santé et la DeSci. Autour d’elle se rassemblent 40 000 investisseurs, qui souhaitent participer à l’amélioration des systèmes de santé et l’accès à la santé pour tous. Ces pionniers se regroupent autour de problématiques comme :

• L’utilisation de l’IA en santé
• Le traitement des données sensibles médicales
• La technologie blockchain qui connecte les hôpitaux entre eux
• L’avancée de la recherche scientifique…

Cette communauté est faite de soignants, docteurs, chirurgiens, spécialistes, hôpitaux, innovateurs, investisseurs venant de tous les horizons.

Grâce à la DAO Galeon, des projets de recherches médicales à but non lucratif et libre de droits sont sélectionnés, votés par la communauté puis financés pour aider les avancées scientifiques. Chaque détenteur de $GALEON possède un droit de vote au sein de la DAO, même avec un 1 $GALEON en poche. C’est donc la communauté de pionniers en santé Galeon qui finance et aide la recherche scientifique et non plus, 100% des gros acteurs pharmaceutiques.

Si vous souhaitez dès à présent rejoindre la communauté de pionniers pour faire avancer la santé et le futur du soin, il vous suffit d’investir en $GALEON ici. Vous pouvez également vous inscrire à notre newsletter en bas de cette page pour être sûr de ne rien manquer de notre actu (car elle va très vite !).

Ensemble, continuons à faire bouger les lignes en décentralisant la science.

Investir ou ne pas investir, telle est la question (crypto) … Mais il est vrai qu’elle se pose un peu plus à certaines périodes, que l’on pourrait juger stratégiques… ou pas. Mais alors que l’on assiste à un bear market qui traîne des pieds et qui fait la moue, cette question revient sur le tapis.

Investir en cet été 2024 est-il aussi risqué que de planifier des vacances en Bretagne avec la météo du moment (pardon, du début de printemps ?). Notons déjà que si nous ne pouvons contrôler la météo, nous ne pouvons pas plus contrôler les baisses et les hausses du marché crypto. Ainsi, il n’y a jamais de “meilleur moment” garanti pour investir en cryptomonnaies, leur marché étant intrinsèquement volatile.

Maintenant que l’on s’est dit cela, il existe toutefois certains facteurs suggérant le potentiel qu’offre un investissement intéressant à un moment donné.

Le bear market continue, c’est le moment d’investir en crypto !

Vous n’y croyez pas ? Et bien, si. Le marché baisse depuis plusieurs mois et si l’euphorie a été palpable en mars, les prix sont redescendus. Ou tout du moins, tanguent comme un catamaran au Cap Horn. Ils sont donc généralement plus bas qu’à leur pic. Voilà sans aucun doute une belle opportunité pour les investisseurs d’acheter des cryptomonnaies à des prix plus avantageux. Bien évidemment, dans l’espoir d’une future appréciation. Et si les opportunités se font moins timides, c’est sans compter sur votre goût aiguisé de la recherche ! Voyez plutôt…

Le bear market continue ? C’est le meilleur moment pour penser stratégie d’investissement crypto !

L’été, place au farniente pour certains, avec les vacances qui ralentissent l’espace temps. Pour d’autres, c’est finalement la meilleure période pour penser stratégie et investir bien ou mieux. C’est donc la période propice pour :

• Comprendre les risques encourus avec tel ou tel investissement, d’où viennent certaines fluctuations importantes de prix, si vous risquez d’y laisser vos plumes ou pas…
• Approfondir vos recherches : sortez votre loupe, c’est l’heure de jouer au détective et de fouiner dans les projets (vraiment) intéressants, leurs technologies sous-jacentes… etc. Et puis d’être un peu visionnaire en affûtant votre flair pour investir dans une crypto durable avec ces 7 piliers.
• Diversifier votre portefeuille : Encore une fois… Tous vos œufs dans le même panier… est risqué. C’est le moment de diversifier vos jetons.
• Définir votre plan d’investissement sur les six prochains mois : et potentiellement investir uniquement ce que vous pouvez vous permettre de perdre (toujours en approfondissant vos recherches et en couplant aux différentes prédictions faites sur la période).
• Même chose sur le long terme : pensez investissements durables. Staker est bon pour la santé (de votre crypto wallet). L’investissement en DCA (Dollar-Cost Averaging) peut aussi être intéressant, car cette approche permet de lisser le prix d’achat moyen et de réduire l’impact de la volatilité à court terme. Vous investissez un montant fixe à intervalles réguliers, indépendamment du prix. Et au final, vous achetez plus de coins lorsque les prix sont bas !

Le bear market continue ? L’adoption des cryptos aussi !

Le marché baisse, certes. Mais à en voir l’adoption croissante et l’intérêt grandissant pour les cryptomonnaies, ce n’est pas le moment de baisser les bras. Le nombre de détenteurs de cryptos ne cesse de croître, estimés à 300 millions en 2024. Sans oublier l’intérêt des institutions financières traditionnelles (banques, sociétés, fonds d’investissement) qui rendent légitime son adoption… Et l’instabilité politique actuelle qui pousse à l’achat de crypto comme réserve de valeur ou comme moyen de transférer des fonds de manière plus sûre.
Cela suggère une augmentation potentielle de la demande à long terme, ce qui pourrait entraîner une hausse des prix.
Et là, BAM. Ou plutôt BULL. Ça repart !

Le bear market continue ? L’innovation technologique en crypto aussi !

Pendant que les courbes s’endorment, le développement technologique, lui, poursuit son évolution. L’innovation dans le domaine de la blockchain et des cryptomonnaies produit donc de nouvelles technologies et applications prometteuses en cours de développement. Et heureusement d’ailleurs. La valeur générée par certaines cryptos comme le $GALEON continue d’évoluer avec le temps et augmente. Et pendant que l’ours s’endort, le taureau gratte d’impatience au fond du box. Patience, bientôt ses cornes feront à nouveau des étincelles contre la lisse de l’arène…

Été 2024 : Le meilleur moment pour investir en $GALEON

Si vous doutez encore du projet sur lequel investir, nous ne pouvons vous en vouloir. Mais sachez que certains comme Galeon, ont plus de sens et d’impact que d’autres. Déjà parce que Galeon s’inscrit dans le domaine de la santé et a une réelle utilité publique (la santé touche tout le monde !). Si Galeon est un projet sérieux et reconnu par la Haute Autorité de Santé, et se dote de certifications comme l’ISO 27001 et HDS, il a aussi reçu 3 Innovations Awards au CES de Las Vegas.
Galeon rassemble une communauté de plus 40 000 investisseurs, qu’ils soient médecins, soignants, membres hospitaliers et tout autre profil, très impliquée dans l’avenir de la santé et la décentralisation de la science. Détenteurs du jeton $GALEON, ils sont les Pionniers du nouveau système de santé que propose ce projet DeSci.
Devenir membre de cette communauté et investir en $Galeon, c’est participer à l’amélioration du soin pour tous et pour vous, en premier lieu.
Pourquoi ?

• Vous développez la visibilité du projet et sa légitimité afin que de plus en plus de centres de soin rejoignent l’aventure. Et donc que la communauté grossisse.
• Vous aidez Galeon à améliorer les fonctionnalités de son logiciel et donc à se développer pour toutes les spécialités de l’hôpital. Vous aidez donc les soignants à mieux travailler, tous les jours,
• Vous votez pour soutenir des recherches à but non lucratif financées par la DAO de Galeon,
• Vous financez la recherche médicale et aider la médecine prédictive à monter d’un cran.

Investir en $Galeon, c’est donc bien pour vous, pour les soignants, pour l’hôpital, et surtout pour permettre un meilleur accès au soin, au global.

Voilà.
Maintenant, vous savez ce qu’il vous reste à faire, que vous soyez coincé sur votre chaise de bureau, à votre pause déj avec votre collège pénible ou posé sur un transat brûlant au bord de la piscine. Prenez le temps de penser stratégie d’investissement adaptée à votre profil de risque, et ne perdez surtout pas espoir. Cela pourrait justement bien être LE moment pour dire OUI à la crypto.

DeSci, pour Science Décentralisée. Mais avant d’en dire trop sur sa décentralisation, parlons d’abord la science traditionnelle.

Pourquoi la science traditionnelle n’est pas équitable

En 2024, la recherche scientifique réside dans les mains de quelques organisations. En effet, gouvernements, grosses entreprises et grandes maisons d’édition décident si un projet scientifique est suffisamment intéressant pour recevoir des fonds et être partagé au reste du monde ou non.

Ici apparaît la censure. Et ce n’est pas de cette manière que la science avance, progresse.
Si le projet est intéressant ? Il est publié et enfin reconnu pour son sérieux. Mais si ce n’est pas le cas…, le projet reste dans l’ombre, qu’il soit vraiment utile à la science ou non. Et personne n’en entend parler.

Le problème avec ça ? Aujourd’hui, les scientifiques ont du mal à obtenir des fonds et des subventions pour mener leurs recherches. Et au lieu de faire ce à quoi ils sont bons, leur travail de recherche, ils passent leur temps à demander des fonds… Et donc créer et rédiger des propositions de financement pour attirer l’attention des journaux de recherche et des journaux.

Il y a un autre problème ici. Les revues de recherche ou scientifiques elles-mêmes. Les scientifiques et les chercheurs partagent leurs études et leurs nouvelles découvertes à travers ces revues. C’est ainsi que l’information scientifique (sous forme d’articles ou de publications) est partagée avec le reste du monde médical. Mais bien sûr, cela reste entre les mains des revues, encore une fois.

Comment sont partagées les recherches scientifiques concrètement ?

Simple : les scientifiques ou les chercheurs envoient leurs résultats aux revues. Les rédacteurs les envoient ensuite à un pool d’autres scientifiques travaillant dans le même domaine pour les valider. C’est ce qu’on appelle le « processus de relecture par les pairs ». Les pairs scientifiques donnent leur avis sur la possibilité de publications par la revue scientifique ou non selon les résultats. Ensuite, la soumission de l’étude est décidée. Parfois, une étude peut prendre des années avant d’être publiée.

Malheureusement, on observe une tendance ici : les revues choisissent généralement de publier les études les plus rémunératrices. Et laissent de côté les “mauvais” résultats, car elles savent qu’ils ne feront pas de bonnes ventes. Les scientifiques déterminent alors le sujet de leurs recherches en fonction de cela, répétant ainsi des recherches déjà effectuées ailleurs à plusieurs reprises, sans qu’ils ne le sachent.

Il est difficile d’aller à l’encontre de ces mastodontes tant ils contrôlent l’édition académique. Ils ont le pouvoir de détruire ou de propulser la carrière d’un scientifique.

Partager des informations entre les scientifiques est également difficile. La majorité des études « négatives », montrant de mauvais résultats, ne sont tout simplement pas publiées. Ou elles peuvent également rester dans des bases de données privées. Ces résultats d’études stagnants conduisent les scientifiques à refaire les mêmes recherches encore et encore dans différents coins du monde, sans savoir que leurs études ont connu le succès ailleurs. Parce que les résultats ne sont pas rendus publics, de l’argent est gaspillé avec des réplications de tests et des coûts de recherches.

Tout cela freine l’évolution de la science.

La DeSci, une aubaine pour le progrès de la recherche scientifique

L’évolution traditionnelle de la science continue son chemin, malgré les difficultés mentionnées ci-dessus. Mais l’information scientifique pourrait se diffuser à vitesse lumière, bénéficiant à toute l’humanité.

“Open source”, ou “libre accès” signifie qu’il n’y a pas de barrières financières, légales ou techniques à l’accès à l’information. Cela signifie que les gens peuvent la lire, bien sûr, mais aussi la télécharger, la partager, la copier ou l’imprimer.

C’est là que la science décentralisée joue un rôle énorme. Elle rend la science collaborative et les résultats ouverts à tous. Parce qu’elle est décentralisée, elle permettrait une plus grande rapidité et diffusion des découvertes dans tous les domaines scientifiques.

Ce processus crée un système de recherche plus équitable. Les chercheurs peuvent demander plus de fonds. Ils peuvent par exemple rechercher un accès en ligne ouvert aux publications d’informations académiques ou aux données.

Grâce à la DeSci, la prochaine industrie révolutionnée sera la recherche scientifique.

La blockchain secoue la science traditionnelle and la santé

La science décentralisée a commencé à gagner en influence et en popularité en tant que mouvement en 2020-2021 avec des projets et des initiatives menés par la communauté scientifique. Des groupes de scientifiques ont commencé à explorer l’écosystème et les technologies de la blockchain. Ils ont appliqué des idées et des concepts décentralisés à la science pour l’améliorer, vers une version plus moderne.

Ces réseaux blockchains peuvent aider à financer les recherches scientifiques mais aussi le partage de leur résultat. La DeSci et les entreprises qui ont commencé à travailler avec comme Galeon ont toutes les mêmes but:

• N’être plus dépendant des acteurs de la Big Pharma ou des maisons d’édition,
• Libérer la recherche scientifique grâce à l’accès ouvert aux données, études ou publications,
• Faciliter la communication de l’information et la collaboration entre les scientifiques du monde entier,
• Faciliter le financement de la recherche.

Les perspectives d’améliorations rapides et les promesses de la DeSci sont grandes.

Les Organisations Autonomes Décentralisées (ou DAO) au cœur de la DeSci

La révolution DeSci pend forme à travers les DAOs. Ce sont des entités ou des organisations fournissant une structure à une communauté, rassemblées autour d’un projet spécifique auquel elles croient. leurs membres collaborent ensemble, participent et contribuent à la prise de décision démocratique au sein de cette organisation.

Appliquées à la science, les DAOs rassemblent des chercheurs, des scientifiques, des médecins, des soignants, des patients, mais aussi des investisseurs de projets scientifiques et d’autres communautés qui communiquent ensemble. Ils proposent des projets répondant aux besoins urgents de la communauté. Ils prennent des décisions démocratiques à leur sujet et collaborent pour les financer et les soutenir grâce à un réseau mondial de pairs et de parties prenantes.

Depuis 2016, la DAO de Galeon rassemble une communauté de 40 000 Pionniers intéressés par la santé, la blockchain et l’intelligence artificielle. Ils sont patients, soignants, médecins, scientifiques, hôpitaux, innovateurs, investisseurs et autres. Grâce à la blockchain de Galeon qui connecte les hôpitaux entre eux et ses IAs, ils permettent plus de progrès médicaux et le partage de valeur au sein de la communauté autour de Galeon.

Tous les acteurs de Galeon s’alignent grâce à la blockchain.

Découvrez-en plus sur notre DAO dans notre livre blanc.

L’hôpital croule sous la donnée. Que l’on parle d’informations tirées de consultations ponctuelles ou bien d’hospitalisations prolongées, les soignants s’affairent bien souvent à gérer cette donnée plutôt qu’à réellement prodiguer des soins à leurs patients. Mais ces données ne sont pas toutes les mêmes. Et il existe certaines façons de les collecter, les traiter et les réutiliser beaucoup plus efficaces que d’autres.

Un patient génère 5 courriers en moyenne par jour par hôpital

Arrêt sur image, un nombre impressionnant de patients défilant au sein d’un hôpital à l’année. 5 courriers, c’est le chiffre tiré d’un des hôpitaux ayant intégré Galeon comme DPI. Toujours pour ce même groupe hospitalier, nous dénombrons plus de 57 000 consultations sur les 3,5 dernières années.
Si l’on ramène cela à 365 jours, c’est grosso modo plus de 80 000 documents envoyés aux patients. 285 000 sur plus de 3 ans. Et puisqu’une grande majorité d’hôpitaux travaillent encore sur papier… Les chiffres sont tout simplement renversants.

Ces documents prennent différentes formes, selon les pays. Si nous prenons l’exemple de la France, par exemple, une synthèse médicale de séjour est systématiquement envoyée pour une hospitalisation de plus de 24h. D’autres courriers comme les comptes-rendus de consultation sont envoyés au médecin traitant du patient et/ou à d’autres spécialistes puis au DMP (Dossier Médical Partagé).

Il existe aussi les prescriptions, normées par la HAS (Haute Autorité de Santé en France), et possèdent une haute valeur médico-légale. Leur usage est externe à l’hôpital.
D’autres documents sont très importants, comme celui de la déclaration de naissance. Elle permet de déclarer la citoyenneté d’un individu et de demander ses papiers d’identité.

Le quotidien des soignants est fastidieux. Car s’ils doivent générer bon nombre de documents, ils doivent aussi utiliser plusieurs logiciels dans un même service pour travailler. Dans certains cas, ils doivent procéder jusqu’à 7 signatures au total juste pour prescrire un seul médicament pour leur patient. À raison d’une vingtaine de patients par jour (voire plus), le calcul est vite fait. Ils n’ont tout simplement pas le temps et finissent par ne plus prescrire ce traitement, si le cas du patient n’est pas critique.

Le stockage de la donnée médicale au format papier pose problème

Au vertige de ces chiffres n’est évidemment pas comptabilisé le coût de stockage ainsi que le transport des dossiers patient papier lorsque le lieu d’archivage est à quelques Km de l’hôpital (parfois 20 Km !).

Ces dossiers papier peuvent atteindre une cinquantaine de pages. Et pour récupérer un dossier ? Deux cas possibles ici :

• soit le soignant a de la chance et il obtient le dossier en 4 ou 5 jours car ce dernier se trouve dans l’hôpital.
• Soit il le reçoit sous plus d’une semaine, car il faut aller le chercher au centre d’archives… En incluant des frais élevés de coursier et une empreinte écologique en bonus…

La gestion du papier relève alors du défi pour les centres hospitaliers. Il est consommé de manière excessive, bien sûr, mais il pose aussi des problèmes de confidentialité pour la donnée de santé. Les dossiers papier peuvent être facilement volés, perdus ou même détruits involontairement dans certains cas (ex de cas d’inondation du centre d’archives).

Galeon révolutionne le quotidien de l’hôpital en hyper-structurant les données médicales

Réduire le nombre de courriers par patient (ou le nombre de patients tout courts) dans l’hôpital paraît difficile, voire impossible. En revanche, un temps considérable peut être gagné sur le planning quotidien d’un soignant. Tout cela en réduisant les frais de gestion du papier pour l’hôpital et autogénérant systématiquement tous ces documents sur la base de la donnée patient rentrée dans chaque dossier.
Alors comment s’y prend-on ?

Rappelons déjà qu’un DPI stocke la donnée, oui et peut le faire de manière intelligente en l’hyper-structurant, grâce à l’intelligence artificielle. Et surtout de manière simple. C’est ce que fait Galeon. Les professionnels de santé rentrent les diverses informations du patient dans le logiciel, en suivant des protocoles déjà préremplis au sein du logiciel.
Un avantage majeur qui leur évite de réécrire les mêmes éléments plusieurs fois à plusieurs endroits, et donc les erreurs ou les oublis. Un gagne temps certain !

Galeon structure la donnée médicale pour autogénérer les courriers de l’hôpital

Galeon ne s’arrête pas aux protocoles tout embarqués au sein du logiciel. Grâce à son module de paramétrage boosté à l’IA, le nom, prénom du patient… et autres informations importantes remontent automatiquement dans les courriers, prescriptions, etc, grâce à un système d’étiquettes. Ce flux de données est optimisé à travers la structuration de cette donnée.

Les documents sont autogénérés par le logiciel. Ils sont aussi personnalisables selon les besoins de chaque hôpital et sont aussi envoyés au DMP. Pour des résultats biologiques par exemple, les soignants peuvent gagner 2 minutes en moyenne par patient. Soit un total de 80 jours sur 3 ans (pour l’hôpital du début de l’article). Ce module de paramétrage ne nécessite pas de formation lourde ou particulière, car il n’est pas complexe à utiliser.
Un vrai plus pour tout le monde.

Galeon sera présent à Santexpo, au stand l59 et sera ravie d’accueillir sur son stand les dirigeants et DSI d’hôpitaux pour leur présenter son Dossier Patient Informatisé.

Vous triez vos emails tranquillement chez vous. Et puis une ligne attire votre œil. Un mail particulier de votre hôpital alors que vous n’y avez pas mis les pieds depuis 3 ans et demi. Et ce mail-là n’est pas tout à fait ce que l’on appelle “positif”. La goutte au front, vous lisez. La nouvelle est tombée : une cyberattaque a touché votre centre de soin, générant une fuite de données massive.
Vous sentez que c’est grave. Mais grave comment ?
Restez avec nous, on décrypte les cyberattaques plus bas.

Les cyberattaques dans les hôpitaux sont fréquentes, et leur nombre sous-estimé

Les chiffres des cyberattaques ne plaisantent pas. Par exemple, pour 2022 en France, le coût total des attaques à succès contre des institutions publiques ou des entreprises privées revient cette année-là à 250 milliards d’euros, selon l’étude d’Asterès.
Une nouvelle cyberattaque a eu lieu dans la nuit du 10 février dernier au CH d’Armentière (faisant partie du GHT de Lille) dans le nord de la France. Le centre hospitalier a dû fermer les portes de ses urgences pour réorganiser l’arrivée de ses patients et leurs traitements. Tous les ordinateurs ont été plongés dans le noir, après le lancement pour impression du message ‘ransom demand’ (demande de rançon) dans toutes les imprimantes de l’hôpital. Les patients ont alors été déplacés dans un autre hôpital. La maternité, elle, a été moins impactée, mais ce sont tout de même 130 dossiers patients qui ont dû être imprimés pour assurer le suivi des mamans. Dossiers papiers qui auraient pu se retrouver entre de mauvaises mains, perdus, ou volés… À nouveau.
L’hôpital a été impacté pendant 3 jours.

Parfois même, les assurances refusent d’assurer les chirurgiens qui opèrent sans avoir l’accès à un dossier patient. Les hackers peuvent procéder de différentes façons, mais la plus fréquente reste le phishing (envoi de SMS ou emails qui incitent à cliquer sur un lien ou télécharger un fichier contenant un malware (logiciel malveillant). Parfois, ils se déplacent même jusque dans l’hôpital pour y laisser une clé USB infestée. Ils peuvent ensuite rentrer en possession des services, crypter les données, les voler, ou encore surveiller les activités de l’hôpital.
Cyberattaques effrayantes pour ceux qui les vivent en direct, mais aussi pour les patients impactés par la fuite de données, lorsque l’on sait ce que ces dernières peuvent devenir…

Concrètement, qu’arrive-t-il après une cyberattaque ?

L’hôpital doit généralement répondre à la demande de rançon. Mais les hôpitaux publics n’ont pas le droit légalement d’y répondre, en donnant de l’argent aux hackers. La CNIL recommande ici de ne rien payer puisqu’aucune certitude de récupérer les données volées n’existe.

L’hôpital vérifie tout d’abord la sécurité des systèmes d’information, analyse l’attaque en détail pour paramétrer les priorités de restauration, avec l’aide de l’ANSSI (l’Agence National en charge de la sécurité des systèmes d’information).
La CNIL peut également intervenir en envoyant une mise en demeure aux hôpitaux utilisant des DPIs qui ne seraient pas suffisamment sécurisés. Ils requièrent alors des mesures correctives à appliquer aux traitements des données par l’hôpital.


Des traitements spécifiques au niveau de la confidentialité des données peuvent être demandés pour les patients venant d’institutions pénales.
Mais un point reste important ici : l’accès au DPI. Qui a pu s’y connecter ? Et quand ?  Qu’est-ce que la personne malveillante y a fait ? Le contrôle de cet accès a besoin d’être fait régulièrement afin de repérer d’éventuels actes frauduleux dans le logiciel.

Quelles conséquences sur vos données après une cyberattaque ?

Plusieurs ici qui ne présagent rien de bon…

• Un grand nombre de spams vous sont envoyés, tout comme un grand nombre d’appels en numéro masqué sont reçus avec une régularité déconcertante.
• Vos informations personnelles sont rendues publiques sur internet (nom, prénom, numéro de sécurité sociale, vos informations médicales comme vos maladies génétiques, cancers, résumé de consultations, résultats d’examens biologiques, pathologies…).
• Vos informations personnelles ou pire…, vos données bancaires sont utilisées à (très) mauvais escient.
• Ou elles sont vendues sur le black market (minimum 200€ proposés pour un dossier patient).
• Vos mots de passe volés servent à répliquer une nouvelle attaque.

Les données de santé sont aujourd’hui d’une valeur inestimable. Le plus de données volées, le plus d’argent récolté ! Et plus le patient possède de pathologies, plus la donnée a de la valeur.

Avec une telle donnée, il est facile d’imaginer ce que l’on peut faire… Créer de nouveaux traitements, enjoliver tout le marketing qui va autour d’un médicament, improviser des diagnostics, faire de la médecine prédictive aussi…

Plus il y a de valeur à aller chercher, plus il y a d’argent en jeu.
La première personne à trouver un nouveau traitement, par exemple, gagnera le marché. Et c’est pour cette raison qu’il n’est pas important, mais obligatoire pour un DPI de fournir une solution de stockage des données sécurisée et répondant à toutes les obligations légales et évolutives d’un pays.

C’est exactement ce que fait Galeon avec son DPI certifié HDS et ISO 27001.